Promenade.

Je fis quelques pas après son depart et m'ecroula a terre...
Je me releva tant bien que mal ...
Un de mes amis nous avait suivis, il m'aida ...
Il essaya de me consoler, mais en vain ...
Je poursuivis ma route, pleurant, pas de grosse larmes comme l'aurais fait toute femme ...
Après tout, j'etais assassin ...
Assassin, et pourtant si sensible dans ses bras ...
Je leva la tete et vu Bahamut, qui regardit dans ma direction
Je m'efforça de sourire pour le reptile ...
Qui finalement, avait peut etre autant d'humanité que nous ...

Je regardai, et je la vis. Ses larmes etaient pour moi commeun couteau dans le coeur. Mais ma naissance exigeait de moi que je sois fort, que je ne cede pas. La vie ne realise pas nos reves, nous devons nous battre pour qu'ils se realisent, et parfois il faut admettre que ça n'arrivera jamais. C'est elle qui avait choisi de se séparer de lui... Et puis... elle n'etait qu'une maitresse, il suffirait de la remplacer...